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Revmir _ Les présents jamais ne durent

Oscar Revmir
Roi des paumés
Age : 110. Une paille...
Modification : Anima
Allégeance : UBIK par habitude. Une vilaine habitude. Même si ça crisse dans la tête, même si ça cogne sous les côtes. Des dissensions dans l'esprit, il ne sait plus ce qui reste du rêve échoué.
Profession : Ancien Leader de l'UBIK, ça claque comme un fait d'armes, ça fout les boules comme une blessure qui ne cicatrisera jamais. Il est aujourd'hui à la solde de ses instincts et de ses besoins. On appelle ça un mercenaire. Il préfère qualifier ça de bonté naturelle. Une casse qui permet de recycler les androïdes lui sert de couverture. Il y répare ou y revend tout ce qui a de la valeur. Il l'a nommée Ad Aeternam. Charmant...
Signe(s) distinctif(s) : L'âge a tanné la peau, et l'encre a fait le reste. Faut des mots pour accompagner la tourmente qui se planque, faut des symboles pour emporter les troupes. Puis faut des balafres pour se souvenir de ce qui est mort, et dont on fera jamais le deuil. Lui, il a des constellations vides qui crèvent dans les abîmes, des citations arrachées à un monde qui n'existe plus, et qui n'a peut-être jamais existé. Des idéaux gravés mais qu'il oublie souvent. Puis le prénom de ce fils déchu, de ce fils que la came lui a arraché pour qu'il ne reste plus que l'héritage amer, et de la bile dans la gorge.
Améliorations : Deux implants. Parce que fallait bien cogner pour se faire entendre quand les mots suffisaient plus. Puis un autre pour se jouer de l'éternité, et rester là, même à dégénérer. Rester encore. Parce qu'il peut plus crever. C'est sûr, y a des contreparties, de celles qu'il aimerait bien oublier, parce que l'implant est dans des chairs moribondes, et qu'il en hérite des douleurs atroces, et aussi des sensations indicibles. Ils ont dit que c'était de la parano, mon cul, lui il croit que y a des prophéties dans ses rétines. Puis il en sourit, pour les regarder encore, passer dans ses prunelles. Les émotions, et les vérités imparfaites. Epilepsie focale comme dit le doc', qu'il nomme la maladie, lui sait très bien ce dont il souffre.
Faiblesse(s) : Sous la vieille carcasse chantent des exactions gravées, inoubliables, irrépressibles. Les mirages ne parviennent plus à apparaître comme tels, et Revmir lit dans ces images parasites des destins qu'il croit pouvoir s'approprier. Des paraboles qui versent dans la paranoïa profonde. Ses implants le trahissent, ils sont aujourd'hui sa faiblesse et les fondations de ses plus épiques fureurs.
Posts : 42
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Mar 28 Avr - 19:06

# Oscar Revmir

Bannière du personnageIcône du personnage

Hadès


Une cicatrice, c'est le rappel constant d'une atroce douleur ou de la folie de la guerre


whatIsIt()

Nom : Revmir





Prénom(s) :  Oscar






Âge  : 110. Une paille...












Etat civil :  Veuf



Modification : Anima. On croit avoir une âme juste parce que le corps n'est pas modifié. Puis on la perd quand même. C'est une éternelle ritournelle. Il n'y a pas échappé.

Allégeance : UBIK par habitude. Une vilaine habitude. Même si ça crisse dans la tête, même si ça cogne sous les côtes. Des dissensions dans l'esprit, il ne sait plus ce qui reste du rêve échoué.

Profession :  Ancien Leader de l'UBIK, ça claque comme un fait d'armes, ça fout les boules comme une blessure qui ne cicatrisera jamais. Il est aujourd'hui à la solde de ses instincts et de ses besoins. On appelle ça un mercenaire. Il préfère qualifier ça de bonté naturelle. Une casse qui permet de recycler les androïdes lui sert de couverture. Il l'a nommée Ad Aeternam. Charmant

Finances :  Un talent d'équilibriste, y a des jours avec, y a des jours sans, le tout c'est que ça fasse 0 au bout, non ?

howDoesItLook()


Avatar : JDM.

Signe(s) distinctif(s) : L'âge a tanné la peau, et l'encre a fait le reste. Faut des mots pour accompagner la tourmente qui se planque, faut des symboles pour emporter les troupes. Puis faut des balafres pour se souvenir de ce qui est mort, et dont on fera jamais le deuil. Lui, il a des constellations vides qui crèvent dans les abîmes, des citations arrachées à un monde qui n'existe plus, et qui n'a peut-être jamais existé. Des idéaux gravés mais qu'il oublie souvent. Puis le prénom de ce fils déchu, de ce fils que la came lui a arraché pour qu'il ne reste plus que l'héritage amer, et de la bile dans la gorge.

Améliorations : Deux. Parce que fallait bien cogner pour se faire entendre quand les mots suffisaient plus. Puis un autre pour se jouer de l'éternité, et rester là, même à dégénérer. Rester encore. Parce qu'il peut plus crever. C'est sûr, y a des contreparties, de celles qu'il aimerait bien oublier, parce que l'implant est dans des chairs moribondes, et qu'il en hérite des douleurs atroces, et aussi des sensations indicibles. Ils ont dit que c'était de la parano, mon cul, lui il croit que y a des prophéties dans ses rétines. Puis il en sourit, pour les regarder encore, passer dans ses prunelles. Les émotions, et les vérités imparfaites. Epilepsie focale comme dit le doc', qu'il nomme la maladie, lui sait très bien ce dont il souffre.

Faiblesse(s) : Sous la vieille carcasse chantent des exactions gravées, inoubliables, irrépressibles. Les mirages ne parviennent plus à apparaître comme tels, et Revmir lit dans ces images parasites des destins qu'il croit pouvoir s'approprier. Des paraboles qui versent dans la paranoïa profonde. Ses implants le trahissent, ils sont aujourd'hui sa faiblesse et les fondations de ses plus épiques fureurs.

howDoesItTaste()


Il a toujours un rire ébréché quand il se rappelle de celui qu'il fut un jour, baigné par cette banalité crasse qui lui permettait pourtant de vivre sans que les enfers ne viennent ouvrir grande leur gueule sous ses pas. Les bonheurs les plus simples rognent souvent tous les élans ambitieux que peuvent porter un esprit, il n'avait alors aucun projet qui dépassa le seuil de l'appartement pourrave qu'il appelait son foyer. Un jour se succédait à un autre, la cité d'Atlantide n'était pas la pire des destinations. Pour chaque citoyen, de toute façon, c'était bien la seule. Un aller simple pour l'existence, une voie sans issue qui avait pourtant des atours de futur. Jusqu'à ce que les futurs ne s'effondrent et qu'il ne reste plus que le présent. Il ne faut pas toujours des drames pour changer de direction, mais il en faut une dose certaine pour bousculer une personnalité, ou bien la révéler.

Sous le grand sourire s'est glissé le masque virulent de l'impulsivité. Il faut dire que quand l'existence se plaît à vous arracher les deux êtres qui savaient donner un sens au quotidien, on le prend rarement comme un béni-oui-oui de la Confrérie. Ce qui aurait pu le briser l'a modelé dans une dureté plus éloquente. Oubliée la jeunesse qui se complaisait dans l'insouciance, il fallait trouver un but pour survivre à la mort de sa femme. Mourir en couches, à une époque comme la nôtre, vous imaginez ? Quand on bannit absolument toutes les maladies, et qu'on croit être dans une enclave qui parade bien en paix, c'est impossible. C'est même absurde. Une absurdité que Rev n'aura jamais oubliée. Elle s'est alanguie quelque part, au fond de son être pour y dispenser son venin. Un masque donc, et les stigmates d'envies vengeresses pour le décorer, quand c'est son fils qui l'abandonna pour des évasions très chimiques. Illusion encore, absurdité de plus, ou bien de trop. Ce jour-là, Oscar est devenu Hadès, figure des ombres, jovialité de façade pour des actes impitoyables.

Le sang a rougi ses mains, et du sang a été exhumé un idéal. Pour purifier la société qui avait su lui révéler sa véritable nature, il a trouvé les mots pour traîner à sa suite des âmes en mal de rêves. Il ne pouvait plus rêver pour lui-même, mais c'était encore possible à travers les prunelles de tous les autres. Les projets succédèrent bientôt aux idées, il a imaginé la résilience pour son âme, il n'a hérité que de la résistance. Hadès perdure, qu'importe les années qui défilent, ou les actes de plus en plus violents qui le caractérisent. Le présent est sans cesse revu à l'aune d'un futur inatteignable, et l'idéal devient cauchemar. Le trône qu'il s'est assigné, il craint d'en choir, il peine à le justifier quand les morts reviennent le hanter. Il fut équilibriste, mais sa témérité aux allures acharnées bientôt doublée par ces mirages qui le consument dessinèrent son éviction. Il a fondé UBIK, il a forgé ses élans de leader en étreignant sa création jusqu'à la rendre aussi monstrueuse que ceux qu'elle souhaitait pourfendre.

Aujourd'hui, les rêves sont des échos misérables, et les stratégies reposent sous l'amertume de la déchéance. Revmir est plus froid, aussi lointain que les sensations qui le malmènent peuvent l'emmener parfois. Sans apparent ancrage, il est capable du pire comme des élans les plus charitables. Tout dépend de l'humeur, tout dépend de la motivation. La raison a déserté ses chairs pour se substituer au trouble : l'âme fantomatique s'accroche encore à l'idéal déçu que porte UBIK, mais ne se permettra jamais de l'avouer franchement. Les échos du passé qui s'allonge sont de plus en plus indéchiffrables.

whereDoesItComeFrom()



Un jour, quand il n'y avait pas encore de quartier...
Son père le regarde, comme il le fait parfois, à la dérobée. Son petit garçon un peu abîmé dans ses rêves, ces rêves qu'il ne confie à personne, comme s'il s'agissait de choses très secrètes ou bien très abstraites, oui son petit garçon lui arrache toujours un sourire un peu doux. Un peu mélancolique. Il est seul, le père, seul dans la tourmente car sa femme s'est laissée emporter par la dernière vague de SIVTA. Emportée par la vague. Il n'a jamais vu la mer, mais il a quand même bien l'image dans la tête. Peut-être parce que la puce inscrit ce genre de choses dans sa conscience. En tant que Neuromancer, il est sensible à tout le code que peut porter un petit bout de métal, mais il est fervent du changement. Éloigner la mort ainsi, la faire devenir fable que son petit garçon a le loisir d'oublier, ça lui va bien. C'est mieux que ce qu'il y avait avant. Ouais, il est comme ça papa, il est progressiste, il croit en la grande corporation qui l'emploie, il croit en son job, il croit en sa famille minuscule. Il croit même à la grogne qui ne cesse d'enfler contre les Riggers, parce qu'au fond, se charcuter comme ça, c'est pas très sain. Il n'aimerait pas qu'Oscar subisse ce genre d'influence. Alors quand demain, le monde se déchaînera dans une énième guerre civile, il haussera les épaules. Et il applaudira la scission de la ville en tout plein de quartiers. C'est mieux comme ça. C'est toujours mieux comme ça.

Un jour, dans la filière d’ingénierie, spécialité recyclage et réparation de technologies en tout genre.
Qu'est-ce que tu fous, Oscar, tu vas être en retard au cours d'histoire. Paraît que c'est le dernier qu'on aura, et c'est passionnant pourtant. On apprend comment on a un jour mis en orbite une putain de navette spatiale. Tu te rends compte, l'espace Oscar ? Ce grand vide dont on entendra bientôt plus parler, vu qu'on peut pas y aller ! A quoi ça sert hein ? A rien. C'est ce qu'il se dit Oscar, même si la frénésie des potes à ce sujet, ça le fait un peu marrer. Mais lui il termine son projet, il est en train d'apprendre, tout seul dans son coin, à réparer un robot ménager de classe B. Pas l'antique auto-cuiseur hein ? Non, un machin qui papote et qui te permet même de préparer ta pâte énergétique en t'annonçant la météo. C'est fou ce qu'ils ont pu foutre comme technologie miniaturisée dans ce bordel. Ça a le don de le passionner. Alors il oubliera l'histoire, puis aussi son rendez-vous manqué avec Marlène. Deux fois qu'il la loupe pour un projet pareil, faut bien qu'elle en soit entichée pour encore l'attendre. Et qu'il ait cette façon de parler qui remplace tous les livres d'histoire réunis. Y a que le présent qui compte de toute manière, pas vrai ? C'est ce que son paternel disait...

Un jour, au milieu de l’asepsie de la grande maternité du quartier
On a rien pu faire. On a rien pu faire. Ça arrive encore parfois. Parfois. Mais il ne comprend pas, non il ne comprend pas. Comment ça peut arriver, parfois ? Hein ? Juste parfois, juste comme ça, parce que le ciel a viré au noir, et parce que la marée luminescente de l'activité médicale en a décidé ? Non, il ne comprend pas, il ne veut pas. Pour la première fois, il s'échine, pour la première fois il s'acharne. Y a plus de sourire, y a plus de grandiloquence. Y a que des mots qui tranchent les rapports, et des envies de buter celui qui lui annonce ça. Oscar n'a jamais vécu ce genre d'émotion, autant de bonheur qui se noie dans une telle violence. Alors quand on lui fout son gamin dans les bras, il sait pas quoi en faire, du marmot, il sait ni quoi en penser, ni quoi ressentir. Il l'aimera, il le sait. Demain, ou peut-être après-demain, il se souviendra qu'il a toujours été quelqu'un de raisonné. De raisonnable. Il se souviendra, et il continuera de bosser.

Un jour, dans une ruelle torve et suintante de Chemmis
Il entend son crâne éclater sur le bitume, et la pluie acide se mélange avec l'hémoglobine en une sorte de magma infâme, et informe. Pourtant, bordel, qu'est-ce que ça fait du bien. De s'être écouté pour une fois, et d'avoir cédé aux hurlements qu'il ne cesse d'enfermer. C'est comme la chute brutale d'une trop longue complainte. C'est assourdissant. Les élans indélicats du crime, qui s'ébattent dans ses veines comme la plus impie des drogues, ne durent qu'une seule seconde. Et bientôt, c'est le silence. Le silence qu'il renferme, et qui l'abrutit de jour en jour. Parce qu'il n'y a plus rien, plus de môme, plus de femme, plus de boulot depuis qu'il a décidé de passer sous le radar. Pour buter ce connard de dealer, y avait pas besoin de se la jouer Shadowrunner cependant, juste d'y aller, et de le serrer quand il serait seul. Puis de laisser éclater la rage. Il regarde le sang sur ses jointures abîmées, il ne sait plus trop ce qui appartient à la loque à ses pieds ou à lui. A cette vie qui s'enfuit, qui s'éloigne de lui, parce qu'il n'en veut plus et que pourtant il ne parvient pas à crever. Non. Non. Car ça suffira jamais. Ça suffira jamais pour que le monde change. Et à force de le regarder, il le trouve à gerber.

Un jour, au lendemain d'un nouveau siècle
Tout est pareil, et pourtant, il sait que tout va changer. Que tout doit changer. Leur clique de petits contestataires, pourrait devenir légion après ça. Il suffit de trouver les mots, de continuer à entretenir la colère, et surtout d'aller traquer ces élites qui n'en peuvent plus non plus de leur cage bien dorée. Il y a des rêves qui meurent, même quand ils frôlent les nues. Alors il suffit de les précipiter par ici, et de leur peindre un joli futur. Un futur où les corporations cesseront d'être les maîtres de l'humanité, et où l'individu se souviendra qu'il peut s'affranchir de la masse bien rangée pour former une révolution. Ils en sont encore loin, c'est vrai, et Revmir fatigue parfois, mais il a encore tant à faire qu'il refuse de dormir. Qu'il refuse de songer placidement à l'après. Non, il veut imaginer les choses en grand, et secouer toute la société jusqu'à ce qu'elle ne s'écroule. Et ensuite, ouais, ensuite seulement, il pourra s'écrouler à son tour.

Un jour, lors d'une descente de l'UBIK dans un laboratoire
Il le saura, mais dans longtemps. Que Nej était là, entre ces murs, à imaginer les broyer. Il saura qu'il a lié son destin à elle, sans même le vouloir. Mais on ne choisit pas les chaînes qui vous entravent, ni celles qui vous gardent de la chute. On ne peut que choisir ses combats. Et l'organisation en mène désormais sur tous les fronts à la fois. On dénonce les tractations des corporations, on démantèle leurs réseaux, on pourrit leurs appuis au gouvernement, on bute allègrement leurs alliés dès lors qu'on en a la possibilité. C'est le cas cette nuit, le laboratoire est tombé, et les mômes qu'il détenait pour ses expériences abominables se sont carapatés. Qu'ils vivent à présent, qu'ils existent pour de vrai. Y a des cadavres dans les couloirs, sous la lueur des néons, les médecins qui crèvent ont des reflets androïdes. On croirait qu'ils appartiennent à un monde déjà en passe de tomber. Il y croit Revmir, il verse des grands discours sur la liberté, et aussi sur les enfants qu'il faut sauver, il oublie bien vite qu'à ses pieds, brûlent encore des hommes et des femmes dont les enfants les attendent. Il faut croire que ceux-là ne comptent pas. Ils sont des dommages nécessaires. Et pourtant, ça ne suffit pas. Non. Ça ne suffit toujours pas.

Un jour, dans les souterrains qui lui servent de base arrière, dans les entrailles d'Atlantide
Il ne sait plus très bien, depuis quand il en est persuadé. Est-ce quand il est entré en relation avec elle, par stratégie ? Est-ce quand elle a su l'émouvoir la première fois, alors qu'elle contait les exactions de son mari, et puis les rêves qu'elle avait trahis ? Est-ce uniquement ce soir, quand elle a servi dans une mission d'ampleur, révélant des talents que jusqu'alors il n'imaginait même pas. Le rêve renaît, il est là, entre eux, dans le silence encombré qui les fait cheminer. Il regarde sa silhouette évoluer dans les ombres, il se dit que c'est sa place. Ici, à ses côtés. Emma est sa destinée. Il ne sait pas le lui dire, il ne sait pas vraiment le formuler, même en son for intérieur, mais elle est celle qui comprend exactement ce pourquoi il continue à s'acharner. Et elle est sans doute celle pour qui il ne s'arrêtera pas. Peut-être jamais.

Un jour, en 2266
Ils sont partout. Partout. Les serpents qui sifflent leurs hérésies. Il ne sait plus à qui se fier, si ce n'est à Alecto. Et encore, parfois, quelques impossibles minutes, il croit qu'elle aussi, elle finira par le trahir. Est-ce par sa faute à lui, si la mission a été un désastre ? Est-ce parce qu'il continue de faire confiance quand partout, les voix dans sa tête lui susurrent de se méfier ? Il y a eu des morts, et alors, et alors ? Des blessés ? C'est ce que l'on doit à la guerre quand on couche avec elle, et qu'on souhaite la voir accoucher d'un nouveau monde. Il a déjà donné l'ordre, de bricker la puce du petit informateur qui a su se faire chopper. Si c'est l'un des serpents, alors le voilà sans sa langue. Mais les sifflements continuent. Partout. Partout. Et Rev, il n'en peut plus. Il n'en peut plus de les tenir à distance, tous, autant qu'ils sont. Il les regarde, et ils sont tous monstrueux, incapables menteurs qui demeurent à sa solde uniquement pour le profit. Il ne les croit plus. Il ne les croit pas. Et à force de faire le ménage dans les rangs, ses alliés se clairsèment. Et la mutinerie gronde.

Aujourd'hui. Demain aussi.
Il se réveille en sursaut, encore. Un foutu rêve qui lui laisse une impression presque palpable, qui vient ankyloser ses muscles. On l'a toujours qualifié d'une force de la nature, mais des matins comme ceux-là, il se dit qu'il ne vaut pas mieux que les matériaux qu'il parvient à revendre, sous les lueurs glacées de l'Ad Aeternam. On y trouve des pièces en tout genre, on peut aussi y faire modifier son OmniTech, y installer des programmes qui ne sont pas recommandés, mais dont les Shadowrunners raffolent. Et quand le moment s'y prête, si on a rien à perdre, Rev répare une augmentation défectueuse. Suffit de payer le prix approprié. Ça permet de vivoter, quand ses gars et lui n'ont plus aucun contrat. Les seuls moments qui lui permettent encore de se rappeler qui il est, c'est quand il emporte à sa suite ses hommes de main, Nej et en général deux ou trois autres Riggers pour aller gentiment "causer" à un pauvre hère qu'il faudra extorquer. Ils récupèrent tout ce qu'on leur dit de récupérer, des cargaisons, des informations, ou même des vies s'il le faut. Tout se monnaye aujourd'hui. Même l'idéal, dès lors qu'on le frappe du sceau de l'oubli. Mais faut frapper fort pour ça. Encore. Et encore.


whatIsBehindIt()


Pseudonyme : Callian
Âge : 34 dans quelques temps, faut bien hein.
Pays : France
Comment avez vous connu le forum, quelque chose de spécial à en dire ? : C'est un appel aux compliments c'est ça ? Mais vous savez bien que vous avez une gueule unique dans le paysage rpgique actuel ! Je vous zyeute depuis un moment, j'avais pas sauté le pas, voilà, c'est fait. Je vous ai connus grâce à un groupe FB à la con dont je me sers pour voir le paysage, et il est sacrément morne parfois. Puis de temps en temps y a une pépite comme la vôtre. C'est bon, vous avez assez de fleurs ?  Revmir _ Les présents jamais ne durent 3584340387
Par Baguetty sur Epicode.
Agnès Baron
PDG au double-jeu
Age : 26 ans
Modification : Anima
Allégeance : Valkyrie Medical
Signe(s) distinctif(s) : Exo squelette qui lui permet de se mouvoir sans assistance malgré sa paraplégie.
Améliorations : Implant cognitif exhausteur de mémoire, Implant à libération d’endorphine anti-douleurs fantômes, Implant anti-stress
Posts : 49
Mar 28 Avr - 19:42

# Agnès Baron

Bienvenue par ici toi Revmir _ Les présents jamais ne durent 2024642264

Nos persos ne vont clairement pas s'entendre mais c'est ça qu'on aime, non ? Revmir _ Les présents jamais ne durent 427303164
Avec les complots et les assassinats Revmir _ Les présents jamais ne durent 2380587780
Ivan Oulianov
Freelance camé
Age : 32 ans
Modification : Rigger
Allégeance : Le flouze.
Profession : Garde du corps.
Signe(s) distinctif(s) : Un tatouage sur le côté du crâne. Un écarteur à chaque oreille, dont un qui lui sert de radio. Sinon... bon. Il n'a que la tête et les mains d'origine, et même sur les parties de son crâne rasé il a des implants visible. Il n'a pas réellement besoin de lunettes, elles sont là pour l'aspect esthétique et l'aider à la visée.
Améliorations : Eh bien... Mmh... Tout son corps est cybernétique ? Depuis qu'il se fait financer ses améliorations par Tyr Inc., autant dire qu'il en a grassement profité. Mieux vaut demander ce qui n'est pas amélioré.
Faiblesse(s) : - Tomas.
- Peut être tué d'un pruneau dans le cœur ou le cerveau.
- Certaines connectiques entre ses membres sont visible (cachées sous sa tenue en cuir).
DC : Zeke, Aldric, Joriel
Posts : 418
https://transmetropolitan.forumactif.com/t45-and-sometimes-the-bear-well-he-eats-youhttps://transmetropolitan.forumactif.com/t62-sometimes-you-eat-the-bear
Mar 28 Avr - 19:49

# Ivan Oulianov

Et du coup je te souhaite officiellement la bienvenue !

Le prédéf' de ce perso me rendait curieux, je le suis d'autant plus maintenant, hâte d'en voir la suite Revmir _ Les présents jamais ne durent 598830163 Et très jolie plume d'ailleurs !

Bon, le quelque chose à en dire c'est aussi au cas où on ait oublié une grosse tâche mais hééééééé... Ca fait toujours plaisir à lire, on va pas s'en plaindre Revmir _ Les présents jamais ne durent 2024642264 *attrape toutes les fleurs et les planque*
Emma Van de Püt
La reine des damnés
Age : 43 ans
Modification : Anima
Allégeance : UBIK (Tyr Inc.)
Signe(s) distinctif(s) : Son dos constellé d'éléments bucoliques aux couleurs chatoyantes lui rappelle les utopies de sa folle jeunesse. Emma les masque souvent, les maquille ou diffuse une pellicule holographique de peau nue sous ses robes. Ce n'est pas l'extravagance qui lui fait peur, plutôt le reflet d'une jeune fille trahie qu'elle peine à regarder en face.
Améliorations : Implants cognitifs de mémoire et d'intelligence, implant neuronal de rapidité cognitive, implant anti-stress, implants anti-dépendance à la nicotine et à la caféine.
Un dernier ajout implanté dans le plus grand secret a mimé, pendant cinq ans, sa stérilité.
Posts : 23
https://transmetropolitan.forumactif.com/t343-stupid-princesses-make-fallen-queens
Mar 28 Avr - 22:15

# Emma Van de Püt

Mondieu mondieu mondieu.
Tout vient de se passer si vite je suis en plein ascenseur émotionnel Revmir _ Les présents jamais ne durent 2024642264  et j'ai cette terrible impression d'avoir loupé un truc.

Je sais pas quoi dire, je suis soufflée par ce début de fiche, toute l'essence du personnage y est au delà de mes espérances.
Alors avec un impardonnable retard, BIENVENUE, tapis rouge holographique et pompom girls automates.
Je t'envoie un mp de suite.

ouhlàlàlàlàlàlà.
Oscar Revmir
Roi des paumés
Age : 110. Une paille...
Modification : Anima
Allégeance : UBIK par habitude. Une vilaine habitude. Même si ça crisse dans la tête, même si ça cogne sous les côtes. Des dissensions dans l'esprit, il ne sait plus ce qui reste du rêve échoué.
Profession : Ancien Leader de l'UBIK, ça claque comme un fait d'armes, ça fout les boules comme une blessure qui ne cicatrisera jamais. Il est aujourd'hui à la solde de ses instincts et de ses besoins. On appelle ça un mercenaire. Il préfère qualifier ça de bonté naturelle. Une casse qui permet de recycler les androïdes lui sert de couverture. Il y répare ou y revend tout ce qui a de la valeur. Il l'a nommée Ad Aeternam. Charmant...
Signe(s) distinctif(s) : L'âge a tanné la peau, et l'encre a fait le reste. Faut des mots pour accompagner la tourmente qui se planque, faut des symboles pour emporter les troupes. Puis faut des balafres pour se souvenir de ce qui est mort, et dont on fera jamais le deuil. Lui, il a des constellations vides qui crèvent dans les abîmes, des citations arrachées à un monde qui n'existe plus, et qui n'a peut-être jamais existé. Des idéaux gravés mais qu'il oublie souvent. Puis le prénom de ce fils déchu, de ce fils que la came lui a arraché pour qu'il ne reste plus que l'héritage amer, et de la bile dans la gorge.
Améliorations : Deux implants. Parce que fallait bien cogner pour se faire entendre quand les mots suffisaient plus. Puis un autre pour se jouer de l'éternité, et rester là, même à dégénérer. Rester encore. Parce qu'il peut plus crever. C'est sûr, y a des contreparties, de celles qu'il aimerait bien oublier, parce que l'implant est dans des chairs moribondes, et qu'il en hérite des douleurs atroces, et aussi des sensations indicibles. Ils ont dit que c'était de la parano, mon cul, lui il croit que y a des prophéties dans ses rétines. Puis il en sourit, pour les regarder encore, passer dans ses prunelles. Les émotions, et les vérités imparfaites. Epilepsie focale comme dit le doc', qu'il nomme la maladie, lui sait très bien ce dont il souffre.
Faiblesse(s) : Sous la vieille carcasse chantent des exactions gravées, inoubliables, irrépressibles. Les mirages ne parviennent plus à apparaître comme tels, et Revmir lit dans ces images parasites des destins qu'il croit pouvoir s'approprier. Des paraboles qui versent dans la paranoïa profonde. Ses implants le trahissent, ils sont aujourd'hui sa faiblesse et les fondations de ses plus épiques fureurs.
Posts : 42
https://transmetropolitan.forumactif.com/t391-revmir-_-les-presents-jamais-ne-durenthttps://transmetropolitan.forumactif.com/t394-oscar-revmir-_-ideaux-eclates-sur-le-pave
Mer 29 Avr - 14:21

# Oscar Revmir

Comment vous êtes... Tout de suite... Revmir _ Les présents jamais ne durent 1915234858 Merci, pour l'accueil les chatounets augmentés.

@Agnès Baron : T'as tout compris, le désamour il n'y a que ça de vrai, non ? Revmir _ Les présents jamais ne durent 1544308832 Puis même si j'ai pas encore fouillé tous les backgrounds de tout le monde, je crois qu'on pourra toujours se trouver un événement qui les a reliés, même dans le pire Revmir _ Les présents jamais ne durent 53988929

@Ivan Oulianov : Merci ! Et franchement prends les fleurs méritées. C'est sûr qu'on peut aussi faire l'inspecteur des travaux finis en mode j'ai pas compris comment mettre les hobbys bi-mensuels de mon perso dans la fiche, et la seconde <div> du modèle, franchement, vous auriez pu la caler à gauche, mais quand même, les compliments c'est mieux Revmir _ Les présents jamais ne durent 3584340387

@Emma Van de Püt : La plus classe est là <3 Je suis vraiment contente que le début te plaise, c'est toujours délicat de s'approprier un PV car il y a une attente derrière, et j'espère bien que tu seras pas déçue. Je ferai tout pour que ce soit le contraire d'ailleurs tant ton scénario m'a bien inspirée. La suite arrive dans la journée ou soirée. De toute façon tu seras la première au courant pour que t'ailles donner ton avis sur ce que ça donnera.
Kraven Crash
Flingueur poissard
Age : 28 ans
Modification : Anima
Allégeance : Freelance
Signe(s) distinctif(s) : Pas de signe distinctif car je suis trop beau bien entendu.
Améliorations : Implant Cybernex Occulus Sight: Cet implant, directement relié à ses yeux, qui se prolonge au niveau de son système nervico-cervical, lui permet d'améliorer sa vue. Notamment, sa vision nocturne est améliorée et il y a un système de vision infra rouge invisible pour les autres qui lui permet d'atteindre pratiquement à coup sûr sa cible et/où son environnement. Cet implant lui permet, également, de pouvoir visualiser les mouvements adverses. S'il ne peut prédire avec exactitude les mouvements des autres, il peut facilement prédire à quelques secondes près ce que fera les autres. La contrepartie est que s'il abuse de cet implant, il est sujet à une vision trouble ou à de fortes migraines.

Implant Cybernex Corpus Agility: Cet implant, directement relié à l'ensemble de son corps, qui se prolonge jusqu'à son système nervico-cervical, lui permet d'améliorer son agilité. La vitesse de ses mouvements lui permet de se déplacer plus rapidement que la moyenne. La contrepartie est que s'il abuse trop de cet implant, il ressent des douleurs musculaires allant jusqu'à la possibilité d'os brisé dans le pire des cas.
Posts : 48
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Mer 29 Avr - 17:06

# Kraven Crash

Bienvenue Ami UBik ! Au plaisir de jouer avec toi Very Happy
Oscar Revmir
Roi des paumés
Age : 110. Une paille...
Modification : Anima
Allégeance : UBIK par habitude. Une vilaine habitude. Même si ça crisse dans la tête, même si ça cogne sous les côtes. Des dissensions dans l'esprit, il ne sait plus ce qui reste du rêve échoué.
Profession : Ancien Leader de l'UBIK, ça claque comme un fait d'armes, ça fout les boules comme une blessure qui ne cicatrisera jamais. Il est aujourd'hui à la solde de ses instincts et de ses besoins. On appelle ça un mercenaire. Il préfère qualifier ça de bonté naturelle. Une casse qui permet de recycler les androïdes lui sert de couverture. Il y répare ou y revend tout ce qui a de la valeur. Il l'a nommée Ad Aeternam. Charmant...
Signe(s) distinctif(s) : L'âge a tanné la peau, et l'encre a fait le reste. Faut des mots pour accompagner la tourmente qui se planque, faut des symboles pour emporter les troupes. Puis faut des balafres pour se souvenir de ce qui est mort, et dont on fera jamais le deuil. Lui, il a des constellations vides qui crèvent dans les abîmes, des citations arrachées à un monde qui n'existe plus, et qui n'a peut-être jamais existé. Des idéaux gravés mais qu'il oublie souvent. Puis le prénom de ce fils déchu, de ce fils que la came lui a arraché pour qu'il ne reste plus que l'héritage amer, et de la bile dans la gorge.
Améliorations : Deux implants. Parce que fallait bien cogner pour se faire entendre quand les mots suffisaient plus. Puis un autre pour se jouer de l'éternité, et rester là, même à dégénérer. Rester encore. Parce qu'il peut plus crever. C'est sûr, y a des contreparties, de celles qu'il aimerait bien oublier, parce que l'implant est dans des chairs moribondes, et qu'il en hérite des douleurs atroces, et aussi des sensations indicibles. Ils ont dit que c'était de la parano, mon cul, lui il croit que y a des prophéties dans ses rétines. Puis il en sourit, pour les regarder encore, passer dans ses prunelles. Les émotions, et les vérités imparfaites. Epilepsie focale comme dit le doc', qu'il nomme la maladie, lui sait très bien ce dont il souffre.
Faiblesse(s) : Sous la vieille carcasse chantent des exactions gravées, inoubliables, irrépressibles. Les mirages ne parviennent plus à apparaître comme tels, et Revmir lit dans ces images parasites des destins qu'il croit pouvoir s'approprier. Des paraboles qui versent dans la paranoïa profonde. Ses implants le trahissent, ils sont aujourd'hui sa faiblesse et les fondations de ses plus épiques fureurs.
Posts : 42
https://transmetropolitan.forumactif.com/t391-revmir-_-les-presents-jamais-ne-durenthttps://transmetropolitan.forumactif.com/t394-oscar-revmir-_-ideaux-eclates-sur-le-pave
Mer 29 Avr - 20:15

# Oscar Revmir

Mais merci bien ;-) Hâte de te découvrir en jeu aussi.
Emma Van de Püt
La reine des damnés
Age : 43 ans
Modification : Anima
Allégeance : UBIK (Tyr Inc.)
Signe(s) distinctif(s) : Son dos constellé d'éléments bucoliques aux couleurs chatoyantes lui rappelle les utopies de sa folle jeunesse. Emma les masque souvent, les maquille ou diffuse une pellicule holographique de peau nue sous ses robes. Ce n'est pas l'extravagance qui lui fait peur, plutôt le reflet d'une jeune fille trahie qu'elle peine à regarder en face.
Améliorations : Implants cognitifs de mémoire et d'intelligence, implant neuronal de rapidité cognitive, implant anti-stress, implants anti-dépendance à la nicotine et à la caféine.
Un dernier ajout implanté dans le plus grand secret a mimé, pendant cinq ans, sa stérilité.
Posts : 23
https://transmetropolitan.forumactif.com/t343-stupid-princesses-make-fallen-queens
Mer 29 Avr - 21:30

# Emma Van de Püt

Mondieu.
Je suis complètement soufflée par cette fiche. C'est beaucoupbeaucoup plus que ce que j'espérais. Revmir _ Les présents jamais ne durent 2024642264
BREF, pour moi tout est plus que parfait.
Tu me combles, petit monstre <3
FE-Lyx
Robot au grand coeur
Age : Créé en 2269
Modification : Anomalie
Allégeance : UBIK
Signe(s) distinctif(s) : Félix porte toujours un chapeau et des gants, pour cacher les quelques détails compromettants. N'a pas la plus petite cicatrice ou tâche de naissance.
Améliorations : Des nerfs en fils électriques, une base de données comme cerveau et des pièces métalliques pour remplacer la peau... Félix est une machine améliorée, pas assez humaine pour se fondre dans la masse. Il n'a besoin de manger, de boire, de dormir et ne connaît pas la douleur.
DC : Renard
Posts : 116
https://transmetropolitan.forumactif.com/t248-certaines-machines-sont-plus-humaines-que-vous?nid=1#821https://transmetropolitan.forumactif.com/t250-fe-lyx-le-robot-qui-regrettait-de-ne-pas-etre-humain?nid=9#860
Mer 29 Avr - 22:50

# FE-Lyx

Bienvenue ! Revmir _ Les présents jamais ne durent 598830163
Ivan Oulianov
Freelance camé
Age : 32 ans
Modification : Rigger
Allégeance : Le flouze.
Profession : Garde du corps.
Signe(s) distinctif(s) : Un tatouage sur le côté du crâne. Un écarteur à chaque oreille, dont un qui lui sert de radio. Sinon... bon. Il n'a que la tête et les mains d'origine, et même sur les parties de son crâne rasé il a des implants visible. Il n'a pas réellement besoin de lunettes, elles sont là pour l'aspect esthétique et l'aider à la visée.
Améliorations : Eh bien... Mmh... Tout son corps est cybernétique ? Depuis qu'il se fait financer ses améliorations par Tyr Inc., autant dire qu'il en a grassement profité. Mieux vaut demander ce qui n'est pas amélioré.
Faiblesse(s) : - Tomas.
- Peut être tué d'un pruneau dans le cœur ou le cerveau.
- Certaines connectiques entre ses membres sont visible (cachées sous sa tenue en cuir).
DC : Zeke, Aldric, Joriel
Posts : 418
https://transmetropolitan.forumactif.com/t45-and-sometimes-the-bear-well-he-eats-youhttps://transmetropolitan.forumactif.com/t62-sometimes-you-eat-the-bear
Jeu 30 Avr - 10:29

# Ivan Oulianov

Oscar Revmir a écrit:@Ivan Oulianov : Merci ! Et franchement prends les fleurs méritées. C'est sûr qu'on peut aussi faire l'inspecteur des travaux finis en mode j'ai pas compris comment mettre les hobbys bi-mensuels de mon perso dans la fiche, et la seconde <div> du modèle, franchement, vous auriez pu la caler à gauche, mais quand même, les compliments c'est mieux Revmir _ Les présents jamais ne durent 3584340387

Owi flatte l'admin, il aime ça Revmir _ Les présents jamais ne durent 2024642264
(À ma décharge, les fiches de présentation ne sont pas codées par moi (passke sans déc' à un stade la flemme et pis c'est marre fuhfuh) alors je ne me sens pas concerné Revmir _ Les présents jamais ne durent 3665183741 Pis c'est toi aussi, quelle idée de remplir plusieurs lignes d'infos quand on n'attend qu'un mot tout bête uhuh.)

*lis "SIVTA" dans ta fiche* ... ... ... *retourne checker sa chrono* ... ... ... ... ... ... ... La vache t'es vraiment vieux.
Revmir _ Les présents jamais ne durent 598830163 Revmir _ Les présents jamais ne durent 598830163 Revmir _ Les présents jamais ne durent 598830163 (<- Ça c'est moi qui hype sur ton papy)
Je vois qu'Emma a validé ta fiche, j'ai rien à en redire non plus ! Quelle belle réutilisation de la chrono' je suis un admin comblé Revmir _ Les présents jamais ne durent 2024642264

(Par contre je sais pas si elle est bien finie donc j'attends que tu me confirmes ça pour valider pour de vrai haha. Ha, et question à la con, du coup je colle ton perso' dans le groupe des mercos ? Revmir _ Les présents jamais ne durent 4014412236 )

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